A moi les yaourts bulgares :-))

Lundi 17 septembre 2018

La cathédrale Alexander Nevski de Sofia... "mon église" :-))

Levées à 3 h 30 pour un départ à 5 h et pourtant le terminal est très proche... mais bon, soyons zen :-) Nous partons en bus ce matin pour la Bulgarie, direction Sofia, sa capitale (1380 denar)... Nous repassons par Skopje, où nous devons changer de bus pour prendre celui de 8 h 15... moi qui dormais si bien (tiens, des consoeurs de Mère Theresa !) :-) Il nous faut pas moins d'une heure pour franchir la frontière macédonienne ! Sur le bord de la route, côté Bulgarie, j'aperçois mon premier nid de cigogne dans les Balkans, trônant au sommet d'un poteau électrique ! Sara reproche au paysage d'être monotone : «Que du vert !», mais qui commence pourtant à prendre de belles teintes automnales par endroits :-) J'essaie de prendre quelques photos à travers les vitres sales du bus... dur, dur !!! Arrivées à la station centrale, un nouveau challenge se présente : trouver le métro qui nous mènera à H20 Family qui, heureusement, nous a fait parvenir des infos à la suite de la réservation ! L'hostel est un ancien bâtiment racheté par des chinois récemment, repeint de blanc et aménagé en dortoirs (7,50 € la nuitée) : les matelas sont curieusement plus étroits que les lits... savent pas mesurer, les chinois ?!!! :-)) Notre chambrée de femmes compte 4 lits superposés : l'un d'eux est occupé par une jeune italienne (au secours !)... Nous posons nos bagages et partons faire un tour en passant à l'office de tourisme le plus proche pour y récupérer un plan de la ville : d'abord aller voir la cathédrale patriarcale Alexandre Nevski, rebaptisée «ton église» par Sara car je voulais absolument la voir :-)) Je propose à Sara de faire l'habituel tour guidé gratuit du centre ville demain matin, qui nous permettra de mieux appréhender l'histoire locale, assaisonnée de quelques anecdotes :-) Le soir, avant de rentrer, nous faisons nos petites emplettes au Lidl du quartier:-)

Remarque : Nous croisons un homme avec un écriteau suspendu à son cou, sans doute un sans abri, quand soudain Sara avise un chien un peu plus loin et lui donne un bon morceau de pain : je me retourne à ce moment et vois le pauvre homme relever son écriteau, le regarder puis regarder le chien avec amertume... j'en ai le cœur serré :-(